Luce, la nouvelle star de ma bonne humeur

Chère Luce,

Mon poussin, mon cœur, mon amour, ma mélodie du bonheur,

Aujourd’hui, je suis de bonne humeur. Hier, c’était pas ça. Divers commentaires, ici et , me peignant comme un cinglé, un pervers, un fou furieux, m’avaient un peu agacé, et m’avait laissé craindre que toi aussi, peut-être, tu pourrais me considérer d’un œil soupçonneux. Mais aujourd’hui, ces sombres pensées m’ont quitté, et je me sens tout guilleret ! Je ne sais pas pourquoi.

Déjà, il fait beau, et ça « c’est plutôt cool », comme dirait André Manoukian. Ensuite, j’ai pu partager, sur internet, des propos sympas avec quelques personnes, à ton sujet, et ça m’a rendu tout guilleret. Par ailleurs, j’ai réussi à récupérer ma cocotte en fonte, dont le fond était tout cramé depuis que je l’avais laissée un peu trop longtemps sur le feu, avec une délicieuse fricassée de poulet à la basque dedans. Je te raconte pas la croûte, toute noire, impossible à gratter avec une simple éponge ! Heureusement, sur un forum spécialement dédié à ceux qui ont des problèmes de cramé avec leur cocotte en fonte, j’ai trouvé LE truc : y mettre du bicarbonate de soude, de l’eau, et bien faire bouillir le tout. C’est miraculeux : la croûte se décolle toute seule, et il n’y a plus qu’à passer le tout sous l’eau.. Et hop.

Tu peux donc deviner, Luce, que je sais cuisiner. Je suis même un assez bon cuisinier, et peut-être aurai-je, un jour, le bonheur de te préparer un bon petit plat, avec plein d’huile dedans. J’ai lu, quelque part, que tu adores l’huile. Bon, autant te prévenir tout de suite : je ne cuisine à peu près qu’à l’huile d’olive. J’espère que tu aimes ça.

Enfin, dernière explication plausible à ma bonne humeur, je suis déjà tout excité à l’idée que je vais te voir, demain soir. Oui, demain soir, c’est le deuxième prime à Baltard, et il me tarde déjà d’allumer ma télévision pour te revoir, et découvrir ce que tu vas nous chanter ! J’imagine que tu prépares tout ça avec beaucoup de sérieux, tout en t’amusant bien, dans ton hôtel, avec tes neuf collègues et l’équipe de production. Il paraît que ça se passe bien, que l’ambiance est bonne. C’est cool. J’ai hâte de savoir quelle chanson tu as choisie, comment tu as décidé de l’interpréter, de te l’approprier, et comment tu vas nous faire kiffer grave la life. Car avec toi, la vie est plus belle, c’est sûr ! D’ailleurs, depuis que te connais, je suis plus joyeux, plus souriant, plus heureux qu’avant. Tu es, en quelque sorte, le rayon de soleil qui éclaire ma vie d’un éclat nouveau. Je me mets, moi aussi, à chanter sous la douche, souvent en reprenant les chansons que tu nous as fait découvrir, depuis le premier casting à Marseille jusqu’au prime de mercredi dernier. Peut-être vais-je tenter, moi aussi, de participer à la Nouvelle Star ? Après tout, si tu peux le faire… Pourquoi pas moi ? Hem, hem ! Pour le moment, je chante quand même comme une casserole.

À la suite de mon article d’hier, je sais donc que tu connais mon existence. Mais au fond, je ne sais pas vraiment si tu as déjà lu les textes de ce blog, ni ce que tu en as pensé. Tu sais quoi ? Ce serait sympa que tu me le dises ! Même si tu trouves que je suis complètement taré et que mon blog est nul à chier, cela me fera plaisir de le savoir. Je suis un peu maso, sans doute. Je me doute bien que toute cette eau de rose, un peu sirupeuse, ne correspond peut-être pas tout à fait à ton caractère. Mais comme tout ce que j’écris est public, et peut être lu par tout le monde, je préfère rester soft. Du moins pour l’instant. Après, on verra !

Allez, je te laisse, mais non sans te donner un gros baiser tout plein d'amour et de moustache qui mousse.

À toi, amoureusement,

Ton Hector qui t’aime.

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