Luce d’or, j’adore !

Ma belle pépite adorée,

Plus que huit heures d’attente avant ton 5e prime à Baltard, et déjà j’explose de joie ! Oui, joie, joie, joie ! Car je viens d’apprendre ce que tu vas chanter ce soir. Out la variét’ aguilérienne – que tu as su emblaver et dont tu as fait quelque chose de très bien, je tiens à le rappeler –, bonjour la bonne chanson pêchue, couillue, déjantée et colorée… comme toi ! Je les entends déjà, ceux qui vont dire : « Nan, Louxor, j’adore, de Philippe Katerine, c’est trop facile, c’est trop son univers, c’est du copier-coller, c’est trop attendu, et gnignigni, et gnagnagna. »



Je les entends déjà, et je les emmerde. Car pour moi, tu le sais bien, tu n’es pas cette bête de foire sur laquelle nombre d’observateurs snobinards de la Nouvelle Star voudraient expérimenter un maximum de choses. Non. Pour moi, tu es Luce la moustachue, cet arc-en-ciel de couleurs et de fantaisie qui jaillit sans cesse de ta véritable personnalité, et c’est comme ça, c’est-à-dire comme tu es, que je t’aime. Brute de décoffrage, crue, fantasque.

Je t’aime ? Que dis-je ? Je t’adooore ! Ce soir, tu vas me transporter dans un tourbillon de fête, d’extravagance, de notes percutantes et de fantaisie absolue. J’adore. J’adore cette chanson, et pourtant je sais que je vais être, forcément, surpris. Car nul ne peut deviner à l’avance quelle tournure tu vas apporter à ce morceau, quel jeu de scène tu vas lui apporter, quelles sonorités tu vas lui accoler. C’est là tout ton génie, Luce : tu transformes tout ce que tu touches. S’il s’agit de plomb, tu en fais de l’or. S’il s’agit d’or, tu en fais un diamant plus étincelant que tout autre.

Plus que huit petites heures d’impatience, et déjà…

J'adooore
Regarder danser les gens
J'y retourne souvent
Au bar du Louxor
Regarder danser les gens
J'adore, j'adore, j'adore, j'adore, j'adore, j'adooore

Oui, Luce, j’adore, tout comme je t’adore, et je te promets qu’un jour, je t’emmènerai au bar du Louxor, où nous partagerons ensemble un cocktail et danserons, toi et moi, comme des cadors !

Alors, ce soir, monte le son !

À toi, amoureusement.

3 commentaires:

  1. Quand je pense que la semaine dernière avec des copines on se disait justement que cette chanson lui irait à merveille et qu'elle devrait la chanter.
    Je suis vraiment impatiente de voir ce qu'elle va en faire =)

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  2. Hector a dit...
    "... et je te promets qu’un jour, je t’emmènerai au bar du Louxor, où nous partagerons ensemble un cocktail et danserons, toi et moi, comme des cadors !"

    OUF ! J'ai bien cru que tu allais terminer ta promesse par "castors" !

    Trop fort, Hector ! :D

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